Le Japon
Alors, est ce que le Japon est, comme l’a dit à ses troupes mon collègue et ami indien Leslie, « une île sans histoire construite par les Américains » ? Non, 1000 fois non. Je ne m’étendrai pas ici sur la comparaison Inde – Japon, volontairement et exagérément peu glorieuse pour le premier pays, que j’ai fait en réponse, tant sur l’aspect historique qu’architectural. Si 15 jours ne suffisent bien évidemment pas à connaître un lieu, à plus forte raison encore, un pays, ils suffisent à percer la richesse exceptionnelle et la tranquillité de cet archipel, à jouir de l’incroyable hospitalité des gens des grandes villes, à saisir ce sens aigu de la perfection.
Arrivée le premier mai à Tokyo, aéroport de Narita, où dès le lendemain je suis rejoint par un petit Ch’ti d’un bon mètre quatre vingt dix et ses 100 kg de muscles, copain de promo et coreligionnaire de mes escapades dans les pays de l’Est : Ludo. Accompagné de sa copine, Nelly, à la bonne humeur et au rire contagieux. Notre Japan Rail Pass en poche (que les Japonais soient bénis pour cette carte d’accès simple et économique à tout le pays !), nous nous dirigeons vers la gare. Avant cela, il faut se faire à un plan façon japonaise, car au premier abord, ce n’est pas simple. Mais comme le reste, c’est bien pensé et explicite donc tout va bien. Nous pouvons embarquer dans notre premier TGV japonais (Shinkansen), nos premiers bento sous le bras. Les gens se mettent en file indienne en respectant le marquage au sol à l’approche du train et nous pénétrons dans notre wagon, spacieux, calme et bien agencé. La découverte peut commencer.
Direction Osaka tout d’abord, où nous logeons dans un charmant et superbe hôtel dans le plus pur style japonais, clair, calme, apaisant. Le kiff quoi. Et que dire de aussi, maintenant que ces instants magiques me reviennent en mémoire, instants malheureusement trop éphémères et qui laissent malgré tout, à leur simple évocation, une douceur et un sentiment de bien-être m’envahir, que dire d’un des apports génial et grandiose à l’humanité, d’une des conquêtes les plus nobles de l’homme civilisé japonais sur le reste du monde, de la suprématie de l’homme sur la bête, que dire disais-je avant d’être aspiré de nouveau dans mes souvenirs transis d’admiration béate face à tant de délicatesse, que dire de leurs toilettes ! On touche au sublime. La cuvette est chauffée et c’est un bonheur de s’asseoir dessus. Après, si on en a le goût, on peut se nettoyer le derrière en choisissant aussi la température. Et puis le petit plus écologique et économique, on peut se laver les mains avec l’eau avant qu’elle ne remplisse la cuvette puisque le haut de la cuvette se présente comme un lavabo. Pas de perte.
Mais revenons à Osaka, la 3° ville du pays. La ville conserve un côté ancien avec le château en particulier, mais celui-ci n’est en fait qu’une copie. Là bas, nous avons pu voir un spectacle de samouraïs et en nous en allant, nous sommes passé devant un mariage. La cérémonie était des plus solennelles. Costumes traditionnels et visages tendus, ça ne respirait pas la joie de vivre… Nous avons ensuite continué jusqu’à l’aquarium d’Osaka, célèbre pour ses requins baleine. 2 requins baleine dans un aquarium sur 3 étages, avec du verre de 30cm d’épaisseur pour contenir toute celle flotte. C’était assez impressionnant ces énormes poissons de 8-10m de long, au milieu d’autres requins, de raies manta et de mérous…
Ah et puis nous n’avons pas pu résister non plus avec Ludo à aller montrer nos talents approximatifs de ninjas. Armés de nos étoiles, on ne peut pas dire que l’on ait fait un carton mais c’était marrant.
Arrivée le premier mai à Tokyo, aéroport de Narita, où dès le lendemain je suis rejoint par un petit Ch’ti d’un bon mètre quatre vingt dix et ses 100 kg de muscles, copain de promo et coreligionnaire de mes escapades dans les pays de l’Est : Ludo. Accompagné de sa copine, Nelly, à la bonne humeur et au rire contagieux. Notre Japan Rail Pass en poche (que les Japonais soient bénis pour cette carte d’accès simple et économique à tout le pays !), nous nous dirigeons vers la gare. Avant cela, il faut se faire à un plan façon japonaise, car au premier abord, ce n’est pas simple. Mais comme le reste, c’est bien pensé et explicite donc tout va bien. Nous pouvons embarquer dans notre premier TGV japonais (Shinkansen), nos premiers bento sous le bras. Les gens se mettent en file indienne en respectant le marquage au sol à l’approche du train et nous pénétrons dans notre wagon, spacieux, calme et bien agencé. La découverte peut commencer.
Direction Osaka tout d’abord, où nous logeons dans un charmant et superbe hôtel dans le plus pur style japonais, clair, calme, apaisant. Le kiff quoi. Et que dire de aussi, maintenant que ces instants magiques me reviennent en mémoire, instants malheureusement trop éphémères et qui laissent malgré tout, à leur simple évocation, une douceur et un sentiment de bien-être m’envahir, que dire d’un des apports génial et grandiose à l’humanité, d’une des conquêtes les plus nobles de l’homme civilisé japonais sur le reste du monde, de la suprématie de l’homme sur la bête, que dire disais-je avant d’être aspiré de nouveau dans mes souvenirs transis d’admiration béate face à tant de délicatesse, que dire de leurs toilettes ! On touche au sublime. La cuvette est chauffée et c’est un bonheur de s’asseoir dessus. Après, si on en a le goût, on peut se nettoyer le derrière en choisissant aussi la température. Et puis le petit plus écologique et économique, on peut se laver les mains avec l’eau avant qu’elle ne remplisse la cuvette puisque le haut de la cuvette se présente comme un lavabo. Pas de perte.
Mais revenons à Osaka, la 3° ville du pays. La ville conserve un côté ancien avec le château en particulier, mais celui-ci n’est en fait qu’une copie. Là bas, nous avons pu voir un spectacle de samouraïs et en nous en allant, nous sommes passé devant un mariage. La cérémonie était des plus solennelles. Costumes traditionnels et visages tendus, ça ne respirait pas la joie de vivre… Nous avons ensuite continué jusqu’à l’aquarium d’Osaka, célèbre pour ses requins baleine. 2 requins baleine dans un aquarium sur 3 étages, avec du verre de 30cm d’épaisseur pour contenir toute celle flotte. C’était assez impressionnant ces énormes poissons de 8-10m de long, au milieu d’autres requins, de raies manta et de mérous…
Ah et puis nous n’avons pas pu résister non plus avec Ludo à aller montrer nos talents approximatifs de ninjas. Armés de nos étoiles, on ne peut pas dire que l’on ait fait un carton mais c’était marrant.